vendredi 7 novembre 2014

Unlocking the truth: Tout n'est pas noir ou blanc.







emeutes a Los Angeles en 1992, les soi-disant Rodney King riots:
2,000 blesses, $1 billion de degats materiels, 52 personnes tuees.


Clichy-sous-bois, 2005


Ce que le mouvement des noirs americains pendant les annees 60 a appris a certaines minorities en Europe, c'est l'usage de violence au nom de les injustices soit au passe, soit a present  envers eux.  Quoique leurs renvendications soient juste en partie, leur methodes et le ressentiment et colere qui en decoulent doivent beaucoup a ce mouvement a l'origine idealiste mais qui s'est vite transforme en pretexte pour destruction--apitoiement sur soi-meme, blame, et, ensuite, pillage.

On a vu les en Londres les emeutes d'il y a un an ou ce qui a eu lieu pendant des semaines a Paris dans les banlieues a Clichy-sous-bois en 2005.

Jusqu'a maintenant en Europe on n'a appris que rarement a attaquer des gens en les menacant avec un couteau ou en les frappant avec un pistolet afin de leur voler des biens (iPad, porte-monnaie, etc.), ce qui est tres souvent le cas aux Etats-unis.

La glorification contemporaine de la violence extreme, comme divertissement ou spectacle, ca vient des etats-unis par le billet de Hollywood et l'actualite americaine.

Personne ne dit aux etats-unis que les noirs n'ont pas suivi la voie prone par Dr. Martin Luther King, Jr.   La violence n'est que tres rarement condamne par les noirs americains, comme si elle n'existe pas dans les communautes noirs.   Ou, si elle existe, c'est celle qu'ils subissent.  Mais les statistiques disent que 97% des meurtres des noirs aux e.u. sont commis par d'autres noirs, pas des blancs.

Et c'est surtout pas pour la plupart chaque jour des policiers qui tuent des noirs.  Le dire serait un mensonge ou au mieux une grosse exaggeration.  En plus c'est une infime partie des meurtres, pas toutes non-justifiees.

La lachete des medias et des hommes et femmes politiques aux e.u. est vraiment epoustouflante.  Personne n'y ose admettre et encore moins dire ce qui est evident.


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As one who went to a racially integrated middle school in the 1960's and as a racial minority myself, it is disheartening to see many of the same behaviors among African American youth at primarily white schools where they are bused in in the name of racial integration.

The same kind of attitudes and behaviors, as in "Did you see him slap her ass?" and the screaming, fighting, bullying are still there a generation after the Civil Rights Movement of almost half a century earlier.

Growing up, I was beaten up several times by black kids.  I have the distinct memory of a young black girl, who I didn't know hitting me on the back of the head as she got off a bus.

And as as adult boarding a bus being shoved and yelled at by a black person who thought he should get on first by right of his skin color.

Food for thought.




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